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Produire, collecter, trier, échanger sont souvent au coeur des collectifs. Toutes ces données nourrissent des bases de données. Mais sont-elles vraiment coopératives ?
Pour qu'une base de données soit coopérative, il faudrait :
qu'il soit facile de l'alimenter
qu'il soit simple d'en modifier le contenu
qu'il soit possible d'en partager le contenu en dehors du collectif
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Coopération, collaboration, fonctionner en réseau, que de termes et pas facile d'y voir très claire.
coopérer => faire oeuvre commune, tous les talents sont mis en synergie pour faire une oeuvre unique au sein de laquelle il est impossible de distinguer qui a fait quoi => un concert de jazz
on parlera de coopération fermée quand on coopère au sein d'un groupe défini, sans possibilité d'intéragir pour une personne extérieure.
on parlera de coopération ouverte quand le projet est ouvert à tout vent.
collaborer => co travailler, les talents sont organisés pour que chacun trouve sa place dans une partition écrite par quelques personnes => concert de musique classique
fonctionner en réseau => on va se débrouiller pour mettre en lien,
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Il faudrait documenter... Effectivement mais personnes (ou quasi) ne le fait. On n'a pas le temps... Par contre on est prêt à répéter 10 fois notre histoire des heures durant. Ce n'est donc pas un pb de temps mais plutôt de méthode. La solution... La documentation croisée permet de resoudre le pb, ne personne raconte, l'autre écrit, il partage ensuite les écrits au raconteur qui corrige, complète et voilà. Une trame de question pourra faciliter la documentation.
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Aider (ou offrir quelque chose à) quelqu'un provoque chez l'autre le désir de retourner la faveur (et chez celui qui donne, du plaisir).
Le contre-don a cela de magique qu'il libère la personne de son obligation tout en ne l'annulant pas puisqu'il le transmet.
Ainsi, cette triple obligation, donner-recevoir-rendre génère un état de dépendance réciproque qui prolonge le lien social dans le temps, telle une boucle sans fin.
Si on combine les comportements d'entraide spontanée à cette obligation de réciprocité très puissante, on saisit pourquoi l’entraide est devenue une phénomène si répandu et si puissant chez les humains. Quelques points d'attention :
le laps de temps entre le don et le contre-don est le temps de la dette, celui qui maintient actif le lien social. Rendre trop vite annulerait cet effet
faire un don intéressé est rapidement perçu et peut être blessant. En tout cas, il n'enclenche pas les mécanismes d'entraide
le contre-don doit être calibré sous peine d'écraser la personne qui a donné et d'engendrer frustration et non coopération
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Les sites "modernes" envoient des flux d'informations sur le web, des flux RSS. Vous pouvez recevoir automatiquement ces flux sur votre ordinateur dans thunderbird, outlook... mais aussi afficher directement ces info provenant de sites tiers au sein de votre site web, on parlera alors de syndication.
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Un endroit unique pour retrouver tout ce qui concerne un projet, une communauté, une équipe. Une seule adresse à retenir, à partir de là on retrouve tous les liens, actions, espaces pour s'y retrouver. Elle permet de résoudre la question fatale "c'est où ça déjà"
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J'aimerai bien les impliquer un peu plus... Cette phrase n'est pas correcte, le verbe impliquer n'existe pas, i ls'agit du verbe s'impliquer. Je peux donc créer les conditions pour qu'ils s'impliquent :
rendre visible de manière claire les espaces d'implication, les endroits où les gens peuvent s'impliquer
se débrouiller pour que les possibilités d'implications soient variées dans le temps et en terme de complexité, des choses que je peux faire en uniquement une heure et sans rien connaître au projet.
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Pour des projets efficaces, chercher à rester KIIS => Keep it simple and stupid ou simple et stupide (au moins dans un premier temps :-)
Intérêt pour "passer à l'échelle"
cela permet de ne pas embarquer son public dans des démarches compliquées et d'ainsi faciliter la participation de tous et toutes
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Par défaut, tout contenu mis sur le web est propriété de l'auteur du site. Personne ne peux ré-utiliser les contenus sans demander l'autorisation écrite et explicite à l'auteur. Les licences ouvertes permettent à celui-ci, d'élargir les droits d'usages et d'autoriser par défaut aux lecteurs de ré-utiliser les contenus, les modifier.
Intérêt pour "passer à l'échelle"
Par défaut, personne ne pourra ré-utiliser les produits de votre projet, utiliser des licences ouvertes permettra à des personnes de récupérer les contenus et / ou la structure de votre projet et ainsi démultiplier votre action.
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Il existe deux grandes familles de logiciels, les logiciels libres et les logiciels propriétaires. Les logociels libres répondent à quatre libertés fondamentales :
possibilité d'utiliser le code
possibilité de lire le code
possibilité de modifier le code
possibilité de partager le logiciel
Les logiciels propriétaires interdisent les points précédents.
La suite Office de Microsoft est un logiciel propriétaire, la suite Libreoffice est un logiciel libre.
Ces logiciels peuvent-être installés sur votre machine (libreoffice) ou sur un serveur web (YesWiki)
Intérêt pour "passer à l'échelle"
L'usage de logiciels libres au sein de votre projet facilite l'essaimage de votre projet, en effet, des structures qui souhaiteraient reproduire votre action ne seraient pas obligés d'acheter des licences logicielles qui peuvent s'avérer onéreuses
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Possibilité envisagée dans un projet d'enlever toute référence au créateur.ice afin de permettre à d'autres personnes de l'utiliser avec leur propre charte.
Intérêt pour "passer à l'échelle"
Utile pour faciliter la réappropriation dans d'autres contextes
Utile pour permettre la "vente" du service avec un habillage sur mesure
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Le microlearning (ou micro formation) est une technique d’apprentissage qui se distingue par des séquences très courtes, (quelques minutes max). On parle de capsule, modules ou microstimulation quotidiens, qui, en général forment des parcours sur plusieurs jours ou semaines. Il s’agit en général de formations en ligne (e-learning) bien que dans le principe toute technique d’apprentissage court pourrait porter le nom de microlearning.
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Un nom de domaine est un nom suivi d'une extension ex : animateurnature.net. Un nom de domaine se loue à l'année et coûte entre 3 et 1500€ par an en fonction de l'extension (prix moyen 15 à 20€ par an). On peut louer ces noms sur gandi, ovh, infomaniak... Il faudra ensuite faire pointer le nom de domaine vers le serveur sur lequel se trouve votre site internet. Souvent les hébergeurs vous louent nom de domaine et serveur ensemble. il faudra alors compter aux alentours de 100€ par an pour le total.
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Le numérique peut-il être éthique, durable... Pas sur du tout, Louis Derrac dans son cycle exploratoire pour un alternumérisme radical le démontre assez bien. Il explore alors les conditions à poser pour tendre vers un numérique plus acceptable.
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Quoi de mieux que ce début d’année pour parler de résolution ? De résolution en graphisme par exemple. Que vous utilisiez un ordinateur, un smartphone (une sorte d’ordinateur miniature qui peut également téléphoner) ou que vous manipuliez des images, vous avez probablement lu, entendu voire utilisé ce terme. Mais savez-vous ce qu’il recouvre exactement et l’utilisez-vous à bon escient ? Rien n’est moins sûr.
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Un serveur, ou serveur web est un ordinateur branché en permanence sur le web, accessible depuis internet. En général ces serveurs se louent au mois ou à l'année. On peut installer sur ces serveurs, des logiciels pour gérer facilement des sites internet tels que YesWiki, wordpress, spip... Souvent les hébergeurs vous louent nom de domaine et serveur ensemble. il faudra alors compter aux alentours de 100€ par an pour le total.
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Dans les projets où l'on souhaite favoriser la participation, il est préférable de modérer à posteriori qu'à priori.
la validation à priori nécessite une présence active pour modérer rapidement topus les ajouts. Le plus souvent celle-ci ne peut s'opérer et les participant.e.s sont découragé.e.s de ne pas voir arriver directement leur contribution sur le site. Il peut aussi y avvoir une sorte de "méfiance" à participer car on va me juger, on ne me fait pas confiance à priori...
la validation à posteriori témoigne d'une confiance envers les participant.e.s puisque leurs apports sont directement intégrés au site. La validation à priori demande moins de ressources en terme de gestion et s'opère via un suvi par mail ou flux rss.
Intérêt pour "passer à l'échelle"
Elle permet de laisser le projet monter rapidement en charge sans devenir le maillon faible par incapacité à gérer la validation à priori des ajouts
